Où suis-je?
23/06/2021 : Saint Claude, France.

Derniers commentaires
>>   Par gérard Martinez, le 19/07
       Salut Florent. Je me disais...
>>   Par Florent, le 16/07
       Bonjour Laurent...Pas encore...
>>   Par Gérard Martinez, le 11/06
       Bonjour Florent....
>>   Par Laurent Souchet, le 11/06
       Bientôt prêt pour...
>>   Par Florent, le 09/04
       Bonjour Gérard, oui...


Catégories :
>>Tour du monde (154)
>>Tour de France (83)
>>Suède (45)
>>Malte (7)

Tour du monde



Articles 11 - 15 / 154
1 2 3 4 5



Article du Jeudi 6 septembre 2018

13h44 - Etapes 924 – 941. Kazan - Saint Petersbourg (1457 kilomètres)

[FR] (in english below)
 À mon arrivée à l'auberge de jeunesse de Kazan il y avait beaucoup de jeunes supporters argentins rentrant  les poches bien pleines d'une année d'étude-travail en Australie, et faisant un détour par la Russie pour supporter leur équipe nationale. Ce fut un peu spécial de faire des rencontres amicales dans une auberge de jeunesse avec des jeunes qui étaient des adversaires pour un match à élimination directe d'une coupe du monde le lendemain. Il y avait un peu de retenue, d'autant plus qu'ils étaient de vrais passionnés et très angoissés par l'enjeu. "Si la France perd, tu vas être triste pendant quelques heures" me dit l'un d'eux. "Si l'Argentine perd, je vais être triste pendant une année" poursuivit-il. Dans le stade, l'ambiance mise par les 15 000 supporters argentins (contre 3 000 supporters français et 22 000 spectateurs neutres) était magnifique, avec beaucoup de couleurs et de chants. C'est le sport, c'est la fête et c'est beau. 5 années après mon dernier match de football qui mettait déjà aux prises Lionel Messi (au stade Mestalla de Valence lors d'un Valence-Barça) j'ai donc assisté à un match de la coupe du monde. Je n'ai pas bien vu le match, car mon billet en première catégorie m'a envoyé au troisième rang au niveau de la pelouse tout près d'un poteau de corner, et j'avais une vue beaucoup trop écrasée du terrain de jeu. Mais c'était tout de même un privilège d'être ici, et le match en lui-même fut très intense avec beaucoup d'engagement, de buts et une victoire finale française sur le score de 4 buts à 3. Un des matchs les plus aboutis de l'histoire de l'équipe de France selon la presse spécialisée du lendemain. À la fin du match, j'ai appris que le 1/4 de finale suivant se déroulait 5 jours plus tard à Nijni Novgorod, une ville située 400 kilomètres plus à l'ouest sur ma route en direction de Saint Petersbourg. Après deux jours de négociations auprès d'un jeune supporter argentin qui tentait désespérément de revendre son billet, j'ai racheté son billet à un prix raisonnable (160 euros tout de même!) et après avoir posté une petite photo sur un groupe Whattsapp de voyageurs à vélo francophones en Asie centrale, j'ai été contacté par un cycliste français qui faisait exactement la même route que moi. Nous nous sommes retrouvés le jour suivant sur la route. "Ah, mais on se connait! Ahhhh mais c'est Jordy!!!" On s'était croisé et avions passé une soirée ensemble 6 semaines auparavant au Kirghizistan. Je le savais de retour vers la France, mais je ne pensais pas qu'il passerait par la Russie. En 6 semaines il a eu le temps de faire la route du Pamir puis la traversée de l'Ouzbekistan, du Kazakhstan et enfin la Russie...Costaud. Il va aussi à St Petersbourg et fait la route Kazan-Nijni en ce moment vraiment par hasard, car il n'aime pas le foot et ne possède de billet ni pour le huitième de finale ni pour le quart. De plus, la Russie est un très grand pays, et c'est une sacré coïncidence que l'on se retrouve en plein milieu. Nous avons poursuivi ensemble, puis nous nous sommes séparés à l'entrée de Nijni Novgorod car nous avions des hôtes warmshowers différents et un programme différent. J'ai traversé la ville et me suis rendu à l'appartement d'Anton, son frère et ses parents, un appartement très modeste pour ne pas dire insalubre, mais pas évident quand le papa d'Anton ne perçoit que 100 euros de retraite par mois, ce qui semble être la norme en Russie. J'y ai passé deux nuits et assisté au quart de finale France-Uruguay, cette fois en troisième catégorie, mais mieux placé, au vingtième rang légèrement excentré derrière le but d'Hugo Lloris et au milieu des supporters français. Deux buts tricolores, un très bel arrêt du gardien sous mes yeux, une qualification pour les demi-finales et une belle fête : une très belle soirée. A la fin du match, tout en pissant dans les urinoirs, les supporters français chantaient un air déjà entendu après le match France-Argentine : "Gérard Depardieu! Sors nous ta vodka! On va la-ga-gner-chez-toi!". La suite leur a donné raison. Je fus ensuite de retour dans la banlieue chez mon hôte, et me suis interoggé sur la suite. Je n'aime pas vraiment la Russie, il y a bien eu quelques chouettes rencontres les jours précédents, mais les difficultés rencontrées au Kazakhstan pour m'approvisionner en nourriture de qualité et pour circuler à vélo dans les villes perdurent en Russie depuis plusieurs semaines et cela devient vraiment long. "Est-ce que l'on peut trouver un magasin avec des produits bio dans ta ville de 1 million d'habitants ?". "Non", me répondit Anton. "Il était possible de trouver de tel produits importés il y a quelques années, mais depuis les sanctions internationales nous n'en avons plus". À ce moment là, l'envie de fuir le pays et de prendre le train pour Saint Petersbourg m'a traversé l'esprit. J'ai regardé les horaires, mais comme Jordy m'avait parlé du "cercle d'or de Russie", une zone touristique avec des belles villes dans la direction de Saint Petersbourg, j'ai également étudié pour faire la route à vélo et j'ai finalement retrouvé Jordy pour rouler sur des petites routes et traverser des villes typiques russes. Cette zone fut clairement plus riche et moins inhospitalière que ce que j'ai vu auparavant : les villes sont plus belles, les maisons des villages sont très jolies avec des volets très travaillés, on trouve plus facilement des fruits frais de saison et j'ai même fini par trouver des oeufs bio et du chocolat non bourré d'additifs chimiques. Après deux mois sans acheter d'œufs j'étais comme un enfant qui trouve des œufs de pâque dans le jardin de ses parents! Outre le cadre et une nourriture plus convenable, la campagne russe possède par ici des charmes au travers de ses habitants dont la prospérité à permis de développement de nombreux arts. Beaucoup sont musiciens, fabriquants d'objets artistiques, de petites boites locales, de marionnettes, etc, et ce fut plaisant d'être à leurs côtés. Après une nuit invité avec Jordy à dormir dans un magnifique complexe hôtelier pour pouvoir assister à la demi-finale France-Belgique depuis la télévision du bar, j'ai fait route seul vers Saint Petersbourg avec un itinéraire sur des routes ou chemins très secondaires pour ne pas dire tertiaires ou quaternaires en cherchant à tout prix à m'éloigner du monde des voitures. J'ai expérimenté la sauvage Russie en bivouaquant tous les soirs dans la nature, et un jour, en voulant prendre des chemins toujours plus petits et prendre un raccourci, j'ai dû marcher 5 kilomètres sur un ancien chemin forestier défoncé par les tracteurs qui le parcouraient jadis et désormais recouvert par une végétation luxuriante avec un sol composé de boues, de larges flaques et de zones marécageuses à contourner. Franchissement d'arbres tombés au sol, attaques de moustiques, de taons et autres mouches piquantes, grosses dépenses énergétiques pour progresser mètre après mètre... Chaque mètre fut une victoire. Mes jambes étaient couvertes d'un mélange de boues, de sueur, de sang et de produit anti-moustique. J'en ai vraiment bavé! Je suis finalement venu à bout de ce chemin, et sans rencontrer les nombreux ours qui vivent dans cette forêt. Les moustiques m'auront beaucoup compliqué la tache en Russie, le soir, je m'endormais sous la tente avec le bruit des ailes de dizaines de moustiques qui tournaient autour de moi. Devoir sortir de la tente pour un besoin naturel était l'assurance de rentrer avec de nouvelles piqures, malgré toutes les précautions. Un jour, j'ai dû pisser tout en courant pour ne pas que les moustiques aient le temps de se poser sur moi, marcher n'étant pas suffisant. Mais tout cela fait partie du jeu et du voyage et j'accepte aisément toutes ces difficultés. Enfin, après avoir cassé mon dérailleur arrière Shimano déore XT qui comptait 55 000 km depuis 2014, et bien tordu la fourche arrière de mon nouveau cadre en titane lorsque le dérailleur s'est pris dans la roue arrière, j'ai été contraint de faire les 50 derniers kilomètres vers Saint Petersbourg en train. Saint Petersbourg est une grande ville, très belle pour une ville russe, avec des longues avenues, énormément de piétons (je n'ai jamais vu une ville avec autant de piétons), quelques trotinettes électrique et quasiment aucun vélo malgré que la ville soit parfaitement plate. Il fut difficile de trouver à réparer mon vélo, j'ai déniché un minuscule atelier de réparation vélo/moto et on m'a redressé mon cadre à frappant très violemment dessus. J'avais mal à chaque coup porté sur ce cadre à 1500 euros, mais finalement, ce fut bon. J'ai retrouvé Jordy pour une soirée à nous raconter nos aventures. Des coups de canon sourds traversaient la ville, tirés par navires de guerres stationnés dans la ville : une manière certainement pour Vladimir Poutine de montrer ses muscles aux nombreux touristes présents à ce moment là (il y avait le marathon de St Petersbourg le même jour). D'une manière générale j'ai trouvé les Russes très satisfaits de leur président, sauf quelques rares contestataires, et j'ai été témoin des valeurs patriotiques transmises dans les système éducatif national : lors d'une kermesse d'école de fin d'année dans un grand village, un groupe d'enfants sur une estrade chantaient des chants tout en agitant un petit drapeau russe, le tout sous une importante surveillance policière. Étranger à tout cela, j'ai passé mon chemin et continué vers la Finlande.

[EN]
When I arrived at the Kazan youth hostel there were many young Argentinian fans, most of them coming back from a year of study-work in Australia, and their pockets full, making a detour to Russia to support their national team. It was a bit special to have friendly meetings in a hostel with young people who were opponents for a knockout match at a World Cup. There was a little restraint, especially since they were very stressed by the issue. "If France loses, you'll be sad for a few hours," said one of them. "If Argentina loses, I'll be sad for a year," he continued. In the stadium, the atmosphere set by the 15,000 Argentinean fans (against 3,000 French fans and 22,000 neutral spectators) was magnificent, with lots of colors and songs. It's the sport, it's the party and it's beautiful. 5 years after my last football match that already put Lionel Messi (at Valencia's Mestalla stadium in a Valencia-Barça) under attack, I attended a World Cup match. I did not see the match well, because my ticket in the first category sent me to the level of the grass near a corner post, and I had a much too crushed view of the playground. But it was a privilege to be here when you know the number of TV viewers for this kind of meeting, and the game itself was very intense with a lot of commitment, goals and a final French victory over the score from 4 to 3. One of the most successful matches in the history of the French team according to the specialized press of the following day. At the end of the match, I learned that the next quarter-final was 5 days later in Nizhny Novgorod, 400 kilometers further west on my way to St. Petersburg. After two days of negotiations with a young Argentine supporter who was trying desperately to sell his ticket, I bought his ticket at a reasonable price (200 USD anyway!) And after posting a small photo on a Whattsapp group of French speaking cyclists in Central Asia, I was contacted by a French cyclist who was exactly the same route as me! We ended up the next day. "Ah, but we know each other! Ahhhh but it's Jordy !!!" We had met and had spent an evening together 6 weeks ago in Kyrgyzstan. I knew it was on the way back to France, but I did not think he would go through Russia. He rolls very fast: in 6 weeks he had time to cycle the Pamir then the crossing of Uzbekistan, Kazakhstan and finally Russia. He is there by chance because he does not like football and does not have a ticket for either the eighth or quarter finals. Moreover, Russia is a huge country and it is an incredible coincidence to find him here. We continued together, then we parted at the entrance to Nizhny Novgorod as we had different warmshower hosts and a different program. I crossed the city and went to Anton's apartment, his brother and his parents, a very modest apartment that would need renovation, but not obvious when daddy Anton receives only about 100 euros per month, which seems to be the norm in Russia. I stayed there for two nights and attended the France-Uruguay quarterfinal this time in the third category, but better placed, in the twentieth row slightly off-center behind the goal of Hugo Lloris and among the French fans. Two goals tricolor, a very nice goalkeeper stop, a qualification for the semi-finals and a beautiful party: a very beautiful evening. But I do not really like Russia, there have been some nice meetings the previous days, but the difficulties encountered in Kazakhstan to supply me with quality food and to cycle in the cities have persisted in Russia for several weeks and it gets really long. "Can we find a store with organic products in your city of 1 million inhabitants?" "No," Anton answered me. "It was possible to find such products imported a few years ago, but since the international sanctions we have no more". At that moment, the urge to flee the country and take the train to Saint Petersburg crossed my mind. I watched the train schedules, but as Jordy had told me about the "golden circle of Russia", a tourist area with beautiful cities in the direction of Saint Petersburg, I also studied to do the bike route and I finally found Jordy to drive on small roads and cross typical Russian cities. This area was clearly richer and less inhospitable than what I saw before: the cities are more beautiful, the houses of the villages are very pretty with very elaborate shutters, it is easier to find fresh fruits of the season and I have even ended up finding organic eggs and chocolate not stuffed with chemical additives. After two months without buying eggs I was like a child who finds Easter eggs in his parents' garden! In addition to the setting and more suitable food, the Russian countryside has here charms through its inhabitants whose prosperity has allowed the development of many arts. Many are musicians, manufacturers of artistic objects, small local boxes, puppets, etc., and it was nice to have time with them. After a night invited with Jordy to sleep in a beautiful resort to be able to attend the semi-finals France-Belgium from the TV bar, I traveled alone to Saint Petersburg with a route on roads or very secondary roads to not to say tertiary or quaternary while trying to get away from the world of cars. I experimented wild Russia by wild camping every evening in the nature, and one day, wanting to take always smaller paths and take a shortcut, I had to walk 5 kilometers on an old forest road smashed by tractors that once used it, but now covered by lush vegetation with a soil composed of mud, large puddles and marshy areas to bypass. Crossing trees fallen to the ground, attacks mosquitoes, horseflies and other biting flies, big energy expenditure to progress meter by meter ... Each meter was a victory. My legs were covered with a mixture of sludge, sweat, blood and mosquito repellent. That was very hard! I finally came to the end of this path, and without meeting the many bears that live in this forest. The mosquitoes were vey ennoying in Russia. In the evening, I fell asleep under the tent with the sound of the wings of dozens of mosquitoes circling around me. To leave the tent for a natural need was the assurance of returning with new bites, despite all the precautions. One day, I had to pee while running so that the mosquitoes do not have time to land on me, walking was not enough. But all this is part of the game and the travel and I easily accept all these difficulties. Finally, after breaking my rear derailleur, Shimano deore XT 55,000 km long since 2014, and twisted the rear fork of my new titanium frame when the derailleur caught in the rear wheel, I was forced to the last 50 kilometers to Saint Petersburg by train. Saint Petersburg is a big city, very beautiful for a Russian city, with long avenues, a lot of pedestrians (I have never seen a city with so many pedestrians), some electric scooters and almost no bike even though the city is perfectly flat. It was hard to find a bike repair, I found a tiny bike / motorcycle repair shop who could repair the titanium frame. I found Jordy in the evening to tell us about our adventures. Muffled cannon shots was ear in the city, fired by warships stationed in the city: a way certainly for Vladimir Putin to show his muscles to the many tourists present at that time (there was the Saint Petersburg marathon the same day). In a general way I found the Russians very satisfied with their president, except for a few protestors, and I witnessed the patriotic values ​​transmitted in the national education system: during a school party at the end of year in a large village, a group of children on a platform sang songs while waving a small Russian flag, all under heavy police surveillance. Stranger to all this, I passed my way and continued to Finland.

Etape 924. Kazan – Tashnur. 81 kms.
Etape 925. Tashnur – Khyrkasi. 87 kms.
Etape 926. Khyrkasi – Route M7. 105 kms.
Etape 927. Route M7 – Nijni Novgorod. 129 kms.
Etape 928. Nijni Novgorod – Karabasikha. 77 kms.
Etape 929. Karabasikha – Palekh. 94 kms.
Etape 930. Palekh – Novo Talitsy. 80 kms.
Etape 931. Novo Talitsy – Tunoshna. 80 kms.
Etape 932. Tunoshna – Iaroslavl. 27 kms.
Etape 933. Iaroslavl – Dubrovki. 90 kms.
Etape 934. Dubrovki – Ivanovskoie. 95 kms.
Etape 935. Ivanovskoie – Grighorovo. 111 kms.
Etape 936. Grighorovo – Piestovo. 61 kms.
Etape 937. Piestovo – Poghorielka. 82 kms.
Etape 938. Poghorielka – Novinka. 72 kms.
Etape 939. Novinka – Niebolchi. 49 kms.
Etape 940. Niebolchi – Budogoshch. 77 kms.
Etape 941. Budogoshch – Saint Petersbourg. 50 kms.


154 miams  [6 commentaires ]

Commentaires (cacher) :

De Thiepel Clement , il y a 6 ans (+ 75 miams) :     Une bouteille en plastique dédiée à cet effet sauve bien la vie aussi des fois. J’ai les mêmes photos de moustique dans certaines partie d’australie ^^ Mais passons... Tu as plié ton cadre en titane à cause du dérailleur AR passé dans un rayon???!!! O.o

De Florent, il y a 6 ans (+ 75 miams) :     Bonne idée la bouteille en plastique coupée en 2, Clément! Il y a parfois des astuces toutes bêtes auxquelles on ne pense pas. Oui c'est ça, la patte qui tient le dérailleur AR s'est tordue lorsque le dérailleur est passé dans la roue. C'est presque un défaut du cadre car les cadres qui sortent maintenant sont conçues de telle manière à ce que cela ne puisse pas se produire.

De Florent, il y a 6 ans (+ 2 miams) :     Je l'ai gardé, JP, mais franchement les douaniers russes pourraient faire du meilleur boulot!

De Florent, il y a 6 ans (+ 1 miams) :     Merci pour l'idée du pisse-debout, Gérard, c'est sur que ça doit bien protéger!!! Mais bon c'est surtout au niveau des jambes que je me faisais piquer car je n'ai pas de pantalon. Bonne question pour les cosmonautes...

De Jean-Paul Steiner, il y a 6 ans (+ 1 miams) :     Prépare une provision d'anti moustiques car ceux-ci se moquent de la frontière et ils sont nombreux à vivre en Finlande !!

De GÉRARD MARTINEZ, il y a 6 ans :     Bonjour Florent! Je lis le conseil de Jean Paul S. Il a raison, il y a des endroits où ils sont petits, tout petits, et ils passent à travers les moustiquaires (on a connu ça en Ecosse, dans les Highland). Par ailleurs, en faisant une recherche sur google pour voir comment il faut s'y prendre quand on pisse en courant, j'ai vu un instrument bizarre, destiné aux filles, pour qu'elles puissent pisser debout...tu pourrais peut-être essayer! Et je me suis demandé comment font les cosmonautes, il faut regarder de ce côté aussi! Personnellement, comme j'ai quelques soucis pour m'endormir, si je me trouvais avec autant de moustiques sur ma tente, je les compterais comme si c'était des moutons! Peut-être, à l'heure qu'il est, ils sont loin derrière toi...amitié Gérard Ps: Je ne mets pas de miams, les insectes ont fait le boulot. MDR



Ajouter un commentaire

Nom (*) : Prénom (*) : ou pseudo (*)
Email (*, **) : Site web (*, ***) :

Miams (*, ****) :
Petite question (*****) : combien font 3+6?

* : facultatif.
** : ne sera pas publié.
*** : url complète.
**** : ajoutez des miams si l'article vous plait (maximum 99 par commentaire).
***** : obligatoire. Si vous ne remplisserez pas cette case ou si vous vous trompez dans le calcul votre commentaire ne sera pas enregistré.