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Article du Mercredi 29 aout 2018

10h39 - Etapes 899 – 923. Bichkek-Kazan (1950 kilomètres)

Après Bichkek, ma route plein nord vers un match de football m'a amené à traverser le Kazakhstan et son immense steppe. Après 3 semaines de montagne, je voyais cette plaine comme une récompense, mais ce fut au contraire une épreuve bien plus difficile que l'enchaînement de cols sur des routes non goudronnées. Le néant est terrible. Du vide on ne tire rien, à moins d'aller puiser au plus profond de soi pour faire de la méditation ou des activités mentales nouvelles comme des recherches scientifiques théoriques (l'absence totale de repères spatio-temporels fut l'occasion de me pencher sur les profondes questions liées à l'espace-temps et chercher en vain une théorie plus statisfaisante que celle d'Einstein) et de la littérature, tout juste 20 ans après l'abandon aux deux tiers de ma dernière oeuvre littéraire, "les confessions" de Jean-Jacques Rousseau, oeuvre principale à étudier pour le bac de français et qui m'avait valu un 02/20 à l'oral, tout juste sublimé par un 03/20 l'année suivante à l'épreuve de philosophie (ce qui ne m'a pas empêché d'obtenir le bac). Bon, n'allez pas croire que j'ai acheté un livre pour autant, il ne faudrait pas trop m'en demander non plus, mais ayant remarqué que les œuvres littéraires françaises vieilles de plus de 100 ans sont libres de droits, et que l'on trouve gratuitement sur le web des audiobooks en mp3 racontés par des lecteurs anonymes, j'ai téléchargé "le tour du monde en 80 jours" de Jules Verne, et l'ai écouté sur les puissantes enceintes 2*7W de mon vélo. Ca aide à passer le temps et m'a, au moins un peu, légèrement réconcilié avec la littérature. Dans les steppes, les difficultés d'approvisionnement en eau et en produits frais furent très pénibles : un jour, après plusieurs journées de vélo sans prendre de douche, j'ai dû me résoudre à prendre une douche dans les toilettes sèches d'un petit relai routier, en me versant dessus l'eau d'une bouteille d'1,5 litre d'eau minérale achetée dans le restaurant (qui n'avait pas l'eau courante). L'absence de fruits et d'œufs pendant des jours et des jours fut particulièrement pénible aussi, car je suis habituellement un gros consommateur de ces denrées et au mois de juin, j'aime avoir des bons fruits. Le néant à perte de vue fut déboussolant et un matin, je suis parti dans la mauvaise direction en reprenant la route dans le sens où j'étais arrivé la veille!...Avant de m'en rendre compte après deux kilomètres parcourus. Bref, j'en ai bavé dans ce pays. Poser les pieds dans le lac Balkash et faire des provisions dans la ville du même nom m'ont permis de reprendre de l'énergie, puis après tout s'est acceléré, car le long de la route, une voiture m'a proposé de m'avancer de 300 kilomètres jusqu'à la prochaine ville. Cela tombait bien, car après des crevaisons quotiennes avec les épines des buissons secs je n'avais plus de rustines. J'ai ensuite rejoint la capitale Astana en deux jours où j'ai pris mon premier jour de repos après 31 étapes consécutives depuis Douchanbe (2350 kilomètres dont une dernière de 184 kilomètres). La ville d'Astana est devenue la capitale du pays en remplacement d'Almaty il y a 20 ans. Les autorités ont investi depuis les milliards de revenu du pétrole de la mer Caspienne pour en faire une belle capitale, et la population a été multipliée par 3 en 20 ans, passant de 300 000 à 900 000 habitants. Tout est presque neuf donc. Les déplacements en voiture y sont largement encouragés, les déplacements à vélo tellement impossibles ou dangereux (la vitesse limite autorisée pour les voitures est à 60km/h et beaucoup vont plus vite) que les quelques très rares cyclistes que j'ai vu roulaient comme moi sur les trottoirs, montant ou descendant des bordures de trottoirs tous les 10 mètres. De plus, il fut impossible de trouver le moindre produit bio ou nourriture de qualité acceptable. Au final, il ne faut pas avoir peur de le dire, Astana est une vraie ville de merde et je ne m'y suis donc pas attardé. J'ai continué en direction du nord-ouest jusqu'à Atbassar où je me suis accordé une petite aide ferroviaire de 400 kilomètres en 10 heures dans un train de nuit : une très chouette expérience et des belles rencontres dans un train bien particulier et très confortable avec mon espace table-bureau qui se transformait en lit pour la nuit, le tout pour moins de 7 euros draps et thés inclus et avec une contrôleur super gentille qui a accepté mon vélo à bord alors qu'il n'y avait pas d'espace ou de place pour lui. Arrivé à Kostanai, je n'ai pas continué à vélo pour très longtemps, car après 20 kilomètres j'ai été pris dans un orage et des passagers du train qui me doublaient dans une petite voiture m'ont proposé de m'emmener chez eux 80 kilomètres plus loin. J'ai accepté et nous avons réussi à tout caser dans leur petite voiture, déjà très chargée, en étant très recroquevillés pour le trajet, puis chez eux ils m'ont hébergé et tout offert. Il y a vraiment des gens formidables partout dans le monde, quelque soit le pays je traverse! Ensuite, c'est bien en pédalant que j'ai longuement continué. J'ai rapidement rejoint la frontière russe que j'ai franchie librement sans visa étant donné que j'avais la carte de supporter pour la coupe du monde. 2018 est vraiment la bonne année pour visiter la Russie car à peu de choses près le prix d'un billet pour un match était le même que celui d'un visa touristique et je pouvais rester 6 semaines au lieu de 4.  Direction plein ouest désormais avec la traversée des montagnes de l'Oural par la route principale qui traverse la Russie d'est en ouest : une 2*1 voie avec un trafic quasi-ininterrompu de poids lourds principalement, hyper dangereux et hyper désagréables, clairement la plus mauvaise route que j'ai emprunté depuis le début du voyage. J'ai alterné des nuits dans des hôtels à moins de 10 euros (j'ai été surpris par le très faible niveau de vie des Russes) et des bivouacs dans des forêts peuplées d'ours, mais lorsque j'ai vu un ours vivant en captivité dans une cage (pour faire s'arrêter les gens près de l'un des très nombreux et pratiques cafés-restaurants du bord de route), j'ai soudainement arrêté de camper dans les bois, car cet animal est vraiment très impressionnant! Pour la nuit suivante, j'ai déniché un très bel hôtel indiqué sur le web à 13 euros la nuit et je m'y suis rendu, mais il fut impossible de trouver l'entrée alors j'ai demandé à un passant qui après bien des recherches a fini par le trouver, mais le prix est grimpé à 20 euros à la réception sans doute à cause de la taxe touristique (j'ai remarqué je devrais souvent payer plus que les russes). C'était toujours ok pour moi car j'étais fatigué alors j'ai donné un billet de 2000 roubles (26 euros) et on était censé me rendre 500 le lendemain car pas de monnaie. J'ai offert une plaque de bon chocolat au jeune qui m'avait aidé mais il n'en a pas voulu et l'a donné à la dame de la réception. Alors je lui ai donné ma bière fraîche danoise de 500 ml et il est parti. J'ai dormi, puis le matin la dame n'a pas voulu me rendre les 500 roubles prétextant que c'était pour "mon ami" qui m'avait aidé ou je ne sais quoi. Au final, avec le prix initial augmenté d'un supplément touristique, d'un supplément pour corruption, d'une délicieuse plaque de chocolat et d'une bonne bière fraîche, la nuit m'a coûté plus de 30 euros ce qui m'a vraiment fâché ! Après des kilomètres et des kilomètres supplémentaires en direction de l'Ouest, je suis finalement arrivé à l'heure à Kazan, le jour de mon anniversaire, pour assister à un huitième de finale de la coupe du monde de la FIFA. Pour ma plus grande joie, l'affiche fut un France-Argentine alors que j'aurai très bien pu avoir un Danemark-Croatie ou même un Australie-Islande, et j'avais une place en première catégorie. Une chouette récompense après en avoir bien bavé, il faut bien l'avouer, les semaines précédentes.

[EN]
After Bishkek, my road north to a FIFA World Cup match led me to cross Kazakhstan and its huge steppe. After 3 weeks of mountain, I saw this plain like a reward, but it was on the contrary a test much more difficult than the chain of passes on unpaved roads. Because nothingness kills, slowly. From emptiness we don't do much unless we go to deep of ourselves to do meditation or new activities like theoretical scientific research (the total absence of spatio-temporal references was an opportunity to lean on the deep issues related to space-time) and literature, just 20 years after the abandonment to two-thirds of my last literary work, "the confessions" of Jean Jacques Rousseau, main work to study for the french baccalaureate and for wich i had earned a 02/20 at oral, just sublimated by a 03/20 the following year in the test of philosophy (which did not stop me from having the baccalaureate) . Well, do not think I bought a book so far, so do not ask too much, but having noticed that French literary works over 100 years old are free of rights, and that there are free mp3 audiobooks on the web, told by anonymous readers, I downloaded Jules Verne's "Around the World in 80 Days", and listened to it while pedaling on the powerful 2 * 7W speakers of my bike. It helps to pass the time. The difficulties of supply of water and fresh products were very difficult, one day, after several sunny days without taking a shower, I had to make up my mind to take a shower in the dry toilets of a small road relay, pouring on the water from a 1.5 liter bottle of mineral water bought in the restaurant (which had no running water). The lack of fruit and eggs for days and days was particularly painful, because I am usually a big consumer of these foods and in June, I like to have good fruits. The nothingness in sight was also disorienting and one morning, I went in the wrong direction by taking the road in the sense that I arrived the day before, before realizing it two kilometers away. In short, I drooled in this country. Setting foot in Balkash Lake and making provisions in the city of the same name allowed me to regain energy and then after, all has accelerated, because along the road, a car offered me to advance 300 kilometers to the next city. It was good, because after punctures with the thorns of the dry bushes I had no more patches. I then joined the capital Astana in two days where I took my first day of rest after 31 consecutive stages since Dushanbe (2350 kilometers of which one last of 184 kilometers-115 miles). Astana became the capital of the country to replace Almaty 20 years ago. The authorities have invested billions of oil revenue from the Caspian Sea to make it a beautiful capital, and the population has increased three-fold in 20 years, from 300,000 to 900,000 people. Everything is new, therefore. Travel by car is encouraged, bike travel so impossible or dangerous (the limit speed allowed for cars is 60km/h -38mph- and many drivers goes more) than the few very rare cyclists I saw drove like me on the sidewalks, raising or lowering the edges every 10 meters. Moreover, impossible to find any organic product or quality food. In the end, do not be afraid to say it, it's a real shitty city so I did not dwell on it. I continued north-west to Atbassar where I gave myself a small railway assistance with 400 kilometers in 10 hours on a night train: a very nice experience and beautiful encounters in a very special and very comfortable train with my desk-table space that turned into bed for the night, all for less than 5 euros sheets and tea included and a super nice controller who accepted my bike on board when there was no space or room for him. Arrived in Kostanai, I did not continue cycling for a very long time, because after 20 kilometers I was caught in a storm and passengers of the train who doubled me in a small car offered to take me home 80 kilometers away. I agreed and we managed to fit everything in their little car already well loaded being very curled up for the ride, then at home they hosted me and everything offered : there are really great people all over the world. Then, it was good cycling that I continued for a long time. I quickly reached the Russian border that I crossed freely without a visa because I had the card to support for the World Cup. 2018 is really a good year to visit Russia because pretty much the price of the ticket for the match was the same as that of a tourist visa with its heavy formalities and I could stay 6 weeks instead of 4 with a visa . Heading west now with the crossing of the Ural mountains by the main road that crosses Russia from east to west: a 2 * 1 lane with a near-uninterrupted traffic of truck mainly, hyper dangerous and extremely unpleasant, clearly the worst route I have taken since the beginning of the trip. I alternated nights in hotels less than 10 euros (I was surprised by the very low standard of living of Russians) and bivouacs in forests populated by bears, but when I saw a living bear in captivity in a cage to stop people near one of the many and very practical roadside cafes, I suddenly stopped camping in the forest, because this animal is really very impressive! For the next night, I found on the web a very nice hotel indicated at 13 euros per night and I went there, but it was impossible to find the entrance so I asked a pedestrian who after some research eventually found it, but the price went up to 20 euros at the reception probably because of the tourist tax (I noticed I should often pay more than the Russians). It was still ok for me because I was tired so I gave a 2000 rubles (26 euros) note and i was supposed to get back 500 the next day because no change. I offered a plate of good chocolate at young man who had helped me but he did not want it he gave it to the lady at the reception, so I gave him my fresh 500ml Danish beer and he left, I slept and the morning the lady did not want to give me the 500 rubles claiming it was for "my friend" who had helped me or whatever, she who knew as many words of English as I knew Russian, about 10. In the end, with the initial price increased by a tourist supplement, a surcharge for corruption, a delicious chocolate plate and a good cold beer, the night cost me more than 30 euros which really angered me! After miles and miles further west, I finally arrived on time in Kazan, for my birthday, for my FIFA World Cup match. For my greatest joy, the match was a France-Argentina while I could vey well have a Denmark-Croatia, even an Australia-Iceland, and I had a place in first category. A nice reward after having a little suffer, we must admit, the previous weeks.


Etape 899. Bichkek – Korday. 29 kms.
Etape 900. Korday – Kainar. 55 kms.
Etape 901. Kainar – Birlik. 111 kms.
Etape 902. Birlik – Burumaimal. 120 kms.
Etape 903. Burumaimal – Route M36. 68 kms.
Etape 904. Route M36 – Route M36. 107 kms.
Etape 905. Route M36 – Balkhash. 126 kms.
Etape 906. Balkhash – Route M36. 86 kms.
Etape 907. Route M36 – Termitau. 58 kms.
Etape 908. Termitau – Astana. 184 kms.
Etape 909. Astana – Siemienovka. 50 kms.
Etape 910. Siemienovka – Route M36. 148 kms.
Etape 911. Route M36 – Karabalyk. 22 kms.
Etape 912. Karabalyk – Troitsk. 58 kms.
Etape 913. Troitsk – Route. 52 kms.
Etape 914. Route – Route. 90 kms.
Etape 915. Route – Route M5. 63 kms.
Etape 916. Route M5 – Sosnovka. 99 kms.
Etape 917. Sosnovka – Sim. 60 kms.
Etape 918. Sim – Surazhkii. 50 kms.
Etape 919. Surazhkii – Tarabierdino. 67 kms.
Etape 920. Tarabierdino – Laiashty. 68 kms.
Etape 921. Laiashty – Route M7. 83 kms.
Etape 922. Route M7 – Naberezhnye Chelny. 78 kms.
Etape 923. Naberezhnye Chelny – Kazan. 18 kms.


187 miams  [10 commentaires ]

Commentaires (cacher) :

De Christian DOBIN, il y a 6 ans (+ 99 miams) :     Salut Florent, Merci pour ces précisions (l'auberge de jeunesse où tu as laissé ton vélo et tout ton barda pendant le match France-Argentine)... Mais tu n'as pas dépassé la limite d'âge pour une auberge de jeunesse ? De la part d'un 'vieux croûton' qui ne déplace plus qu'en vélo électrique... Bien amicalement, Christian DOBIN

De Florent, il y a 6 ans :     Merci jean paul, effectivement c'est une théorie interessante ;-)

De Florent, il y a 6 ans :     Salut clément je vois que les grands esprits se rencontrent une nouvelle fois! :-) j'adore aussi lire ton blog d'ailleurs à l'occasion je te piquerai le début sur les différents types de fun...bon retour vers la France et au plaisir de se recroiser!

De Danièle , il y a 6 ans :     Salut Florent, je surveillais ton blog et je commençais à m'inquiéter.....2 mois sans nouvelles!!!!! mais nous voici rassurés, tes aventures se poursuivent au gré de tes rencontres, des aléas.....Bonne route et bises de Dordogne

De Christian DOBIN, il y a 6 ans (+ 9 miams) :     Comment tu as fait pendant le match France-Argentine pour ne pas te faire voler ton vélo ? Tu l'as emmené avec toi dans les gradins avec ta tente et tout ton barda ? Nous sommes toujours aussi admiratif pour ton courage : braver des ours ! Bonne continuation... Christian DOBIN

De inconnu, il y a 6 ans (+ 14 miams) :     Salut le chevalier sans peur et sans reproche...Une conquête de l'ouest, pour sûr, mais pas une ruée vers l'or, c'est net! Christine a bien rit de ton rétropédalage involontaire. Heureusement que tu t'en es rendu compte au bout de 2 Km seulement (MDR!). As-tu reçu mes dernier mails, et surtout celui où je t'ai fait passer l'émission de Mermet sur Dubaï, ou bien s'est-il perdu en route, et un ours l'aura dévoré? (Il faut dire que la route est longue, et bien rectiligne). A propos d'ours, sont-ils plus balèzes qu'au canada ? Nous attendons la suite avec impatience. Amitiés Gérard et Christine

De Florent, il y a 6 ans :     Salut Christian! Pour mes affaires dans le stade j'ai d'abord tenté de bivouaquer sur la pelouse du stade mais je me suis fait virer par des potes à Poutine...J'ai pourtant essayé de les acheter avec des bouteilles de vodka mais ils n'ont rien voulu savoir. Afin d'éviter les tirs de kalachnikov je me suis rendu à une auberge de jeunesse où j'ai laissé mes affaires puis je suis allé au stade en bus (les bus de ville étaient gratuits pour les spectateurs se rendant au stade).

De Florent, il y a 6 ans :     Salut Gérard et christine! Mort de rire, et oui dans l'ouest russe on se fait bien plumer...Bien reçu le mail mais pas encore écouté! Les ours russe sont des ours bruns moins dangereux que les ours noirs ou les grizzli canadiens mais une fois qu'on en a vu un, ça devient difficile de ne pas en avoir peur. A bientôt pour la suite!

De Jean-Paul Steiner, il y a 6 ans :     Comme aurait dit ce cher Victor (Hugo de son nom de famille):"après la plaine immense une autre plaine immense ! "Il avait peut-être fait du vélo au Kazakhstan !! Bonne continuation Janine et Jean Paul

De Clement Thiepel, il y a 6 ans (+ 65 miams) :     Haaa... ! Le tour du monde en 80 jours... ce fut mon premier roman de littérature audio ! Et depuis ce premier bien d’autres ont suivit... particulièrement en Australie là où l’on s’était rencontré :) Courage l’ami, le Kasakhstan à l’air tout aussi éprouvant !



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